Tennis, RG : les va et vient de Chamouloth

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« Il se fait démolir. » A la grande déception de Thierry Clopeau, Brabo ne parlait pas de Luyat dans les bras de Monfils père, mais de Djokof contre Nadal.

Ca devait être la grande journée pour France Télévisions, plus belle que le Décastar 96 avec Galfione. Dans les tribunes, Bîmes expliquait à Roselyne Bachelot qu'oenologie et tennis sont finalement assez complémentaires. Fred Godard se régalait de plans sur les people néophytes venus apprécier les joueurs de tennis : Raphael, Mauresmo, Boris Diaw. Brabo espérait voir une demi-finale de rêve, il n'a vu qu'un Djokovic du pauvre amuser Nadal.

Qui domine Guez ?

« C'est terrible, ça fait rire Mansour Bahrami. » Il avait eu la décence de laisser à son collègue à la mèche dorée le match de la quinzaine, il a dû le regretter. Pas les téléspectateurs, car il n'est jamais aussi mauvais que quand il faut meubler. 6/4, 5/1 pour Nadal, mais 30-0 sur son service Djokovic. Et une grosse faute de l'Espagnol. 40-0, le suspense est relancé. « Hey… » hurle-t-il de la cabine commentateur, sûr comme jamais. Sans « s » dans la phrase, il ne peut pas zozoter.

Malheureusement le Serbe, malgré ses 40% de premier service, ne reviendra jamais. « Pourtant, il tente Novak, il tente. » Dominguez met fin à sa souffrance de consultant. « Oui, mais il tente mal. » Après vingt fautes directes consécutives, Djokovic passe enfin un coup droit gagnant. « Bravo ! », s'exclame Brabo. C'est l'exploit du jour : le DTN, malgré un CV plus fourni en radios qu'Elkabbach, est KO.

A suivre, le délice de Chamalo…

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