Tennis : Le printemps du cinéma

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Gasquet en Ben Stiller, Simon en Gasquet, Tsonga en Lieutenant Dan. Les premiers rôles se multiplient pour les Français.

Richard Gasquet possède un altruisme fabuleux. Il en est déjà à trois cette année : non pas des titres, la presse en aurait parlé, mais des carrières lancées. Tsonga en Australie, Del Potro, qui lui a abandonné la grosse cote Bwin à Stuttgart, et Murray à Wimbledon. Rainer Schuettler peut donc nourrir de légitimes ambitions pour sa fin de saison, après avoir infligé à Gasquet sa 19e défaite de la saison, la 8e après avoir remporté le ou les deux premiers sets. Paulo en est plus ému qu'après un adultère de Champion. Pendant que Monfils et Tsonga passent et que Simon est encore dans la course pour de la figuration aux Masters, Gasquet quitte un International Series 2 le même jour que Mahut. Dommage que les consolantes n'existent plus, Bîmes aurait offert les lots. Non, on déconne.

Monfils et stage Ulysse

Monfils, lui, continue à jouer et à dominer. Sur la lancée de Roland Garros, n'en déplaise à Cibulkova, qui n'est plus dans le coup. Il évite toujours les prises de risque et les fautes directes. Le Top 20 paraît une formalité s'il continue à écouter ses anciens futurs entraîneurs plutôt que la femme à Chamou.

Tsonga, lui, atteint les demi-finales pour la première fois depuis Casablanca en mai et son forfait pour Roland et les JO. Son jeu monte en température, son genou aussi. Quel est le plus dangereux ?

Pendant ce temps-là, Le Vestiaire présente ses excuses à Michel Gomez, c'était bien l'homme de la situation.

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