L’Edito : Coup de foudre et conséquences

 

Martine Aubry a passé un week-end délicieux, tous les journaux en font leurs choux gras depuis deux jours : Lille est bien en route pour le doublé. Sale affaire de mœurs pourtant.

Il va falloir s’y habituer, les écarts de conduite ont mauvaise presse ces derniers jours. Ce n’est pas complètement nouveau : qui a envie d’entendre parler du Grand Prix de France moto ? A un mois des 24 heures du Mans et du virage raté de Pescarolo, le circuit Bugatti était pourtant aussi rempli d’hôtesses qu’une suite 2806 de Sofitel.

Des essais qualificatifs de Rossi et Stoner au triomphe de Debuchy et Obraniak, il n’y a que le décor qui change. Paris ne sauve plus ses saisons par la Coupe, Lyon ne sauve plus ses joueurs d’un transfert dans un autre club de Ligue 1 et l’OM sauve les meubles à Lorient. Au Nord, c’était les corons, le charbon, l’horizon, les mineurs de fond et maintenant Dumont et la Ligue des champions.

Djokovic, lui aussi, multiplie les écarts de conduite. Ca fait deux contre Nadal de suite, trois avec le Djokoland d’Intérieur sport. On va finir par croire que les Mousquetaires n’intéressent plus personne, pire qu’il n’existait pas de Mousquetaires. Ca paraît un peu gros, Tsonga aussi, Contador aussi.

Pendant ce temps-là, Montpellier est l’invité surprise des demi-finales avec Toulouse, Clermont et le Racing. Trinh-Duc trouve ça « indescriptible ». Le France-Japon du 10 septembre, qu’est-ce que ça va être.

4 réponses sur “L’Edito : Coup de foudre et conséquences”

  1. Une petite bêcheuse cette femme de chambre: se refuser au patron du FMI et futur Président, pour qui elle se prend? Carla et Zahia n’ont pas fait autant d’histoires.

  2. « Au Nord c’était les corons, le charbon, l’horizon, les mineurs de fond et maintenant Dumont et la Ligue des Champions. »

    Un coup de mou au Vestiaire ? Encore un stagiaire à virer ?

  3. Effectivement c’est assez mauvais. Nous allons immédiatement convoquer notre spécialiste edito qui ne semble plus vraiment à la hauteur. Merci de nous l’avoir signalé.

  4. Ce n’est pas assez mauvais, c’est très mauvais. C’est bon pour cette fois-ci mais n’y revenez pas.
    Il faut dire qu’après avoir atteint les sommets avec « Gasquet, ce grand Kooyong », on comprend qu’il soit difficile de se maintenir à un tel niveau à tous les coups.

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