L’Edito : La curée de Camaret

Pour la reprise officielle de ses activités après la traditionnelle pose hivernale de 8 mois et le recyclage d’un article biathlon, le Vestiaire voulait démarrer sa saison avec le mythique épisode bonus du Domenech show diffusé sur France 5 mardi dernier, devant une Alessandra Sublet qui n’a très probablement pas inventé l’eau tiède, ni le fil à couper le beurre comme le veulent ces expressions populaires pour signifier qu’une personne pourrait aussi bien manger du foin. Finalement nous choisissions d’opter pour le service après-vente des Espoirs du foot français qui après avoir pris un taxi sur un coup de tête à minuit pour faire Le Havre-Paris à trois jours d’un match ont pris conscience qu’ils avaient des agents pour leur apprendre à parler mais pas à réfléchir. Mais dans la foulée, la justice découvrait que Régis de Camaret n’avait pas ses diplômes de Gynécologie.  Tout sosie de Brassens qu’il est il n’avait pas pour autant le droit de découvrir certaines cavités cachées de ses joueuses avec ses propres instruments, sans ordonnance même si ça pourrait faire plaisir à Tauziat.

Bafé serré

Pendant que lequipe.fr déclarait la guerre à la ligue 1 en consacrant une page à Raspentino, notre spécialiste commençait à lui trouver un intérêt. A la ligue 1, pas à Raspentino. Combien de temps Marseille est son niveau ligue 2 va-t-il réussir à se maintenir dans les cinq premiers ? Réponse aisée: tant que Lille et Montpellier ne se battront pas pour la relégation. Lyon risque de bien rigoler et pas qu’à cause du niveau de Gourcuff, de la carrière de Rémy Garde, ou du professionnalisme de la presse espagnole sur Benzema. Messi remerciera longtemps les dieux du football de lui avoir permis de devenir une légende avec pour seule concurrence Wassim Ben Yedder.

Pendant ce temps-là Thierry Dusautoir a perdu son maillot bleu

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