Prix Nobel : M’Vila au bord de la merde

Il était une fois Yann M’Vila, joueur de Rennes entraîné par Guy Lacombe. Ca commençait mal. Mais Antonetti et Laurent Blanc sont arrivés. Ca tombait bien la France recherchait un joueur d’avenir, alors on a convenu qu’il était mature, même si l’image laissée dans la banlieue d’Amiens le rendait plus proche d’un consanguin voire d’un con sanguin. Des gains il lui en a fallu pour offrir à des putes Montpellier-Rennes sa jolie montre un soir de France-Chili. Devenu indispensable grâce à sa qualité de première passe et sa relance perforante dans les bordels et ailleurs, c’est à ce moment là qu’il met une première fois sa carrière au service des médecins, pas encore psychiatriques. Il revient pour faire un Euro merdique mais il va mettre la manière en ne serrant pas la main de Blanc et Giroud. Même si Giroud on peut comprendre. Mature, il fait des photos avec des gamins le lendemain mais il est suspendu quand même. Selectionné en Espoirs, il fait le job et dit que ca fait plaisir. Tellement qu’il prend le taxi au Havre car Paris c’est quand même la classe. Mature.

On se souviendra qu’il avait marqué contre l’Albanie.

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