Barça-PSG : Ibra patatras

Un but, deux passes : à 31 ans, jamais Ibra n’avait été aussi proche de sauver une de ses équipes. A 32 ans peut-être.


Le plateau de Denisot ne sera donc pas pour cette année. On y trouvera toujours les mêmes : Bruno Solo qui prend tout ceux qui lui adresse la parole pour le dernier des connards, Garcia persuadé d’être le plus grand, Anconina qui rappelle vaguement quelqu’un à tout le monde. Et il y aura Melki, le seul qui joue vraiment. Ils sont tous là parce que ça marche, et tant pis s’ils sont mauvais.

Ils le sont, et Paris ne l’a pas été. Paris a réussi ce que personne n’avait réussi depuis dix ans : dominer au Camp Nou, obliger le Barça à reculer et à se faire dessus et se créer plus d’occasions de 2-0 que de 1-5. Toutes les relances lobées de Verrati sautaient le pressing du Barça qui s’était débarrassé de Motta justement pour éviter ce genre de choses. La preuve, on trouve même des images panini où ses fringues sont rouges et bleues. Le Ronnie de l’histoire, comme on dit. Villa et Alves rendaient tous tellement de ballons qu’à côté de Messi sur le banc, Xavi repensait à Kluivert. Sauf que c’est une vanne, Xavi jouait, vous pouvez vérifier. Paris devait juste surveiller un peu Iniesta, qui faisait des enfants à Jallet, enfin il le prenait par derrière pour pas être vulgaire. Si seulement la PMA était déjà là. Et Fabregas ? Non, pas Fabregas.

Les Cata lents

Sans s’en apercevoir, le 0-0 à la mi-temps était déjà une immense déception. Et d’un coup en début de deuxième mi-temps, Pastore s’est soudainement mis à valoir 42 millions d’euros, sur une passe à 9 milliards ou millions nets mensuels d’Ibra. Comme quoi il ne sert pas complètement à rien. Les impensables se produisaient, et menaçaient de se reproduire deux ou trois fois, même si la nounou de Beckham n’était pas en tribune, ni dans le lit de son patron apparemment cette fois. Ah, cette GPA. Paris était en demi-finale, Lucas Moura allait tranquillement prendre le premier de ses sept Ballons d’or. Gameiro et Beckham ne pensaient pas rentrer, puisque Ancelotti n’avait pas prévu d’aider son équipe à arrêter d’être meilleure que le Barça et de se créer des occasions. Mais on ne fait pas toujours ce qu’on veut, sinon le PSG aurait tranquillement battu les vieillards du Barça qui ne peuvent plus courir, faire un pressing pour empêcher un joueur adverse de se retourner et relancer. Mais comment reprocher à Lavezzi de ne pas en avoir mise une au fond ? Il a tellement couru et en plus, il a vu Messi.

A la fin, Bruno Solo regrette toujours d’avoir joué au plus malin et Elbaz d’avoir joué en Solo. Mais eux ils font toujours une suite. Et comme pour Ibra, on continue de prendre Anconina. Pendant ce temps-là, vous pouvez toujours miser gros sur le Bayern sur https://www.bwin.fr/epage.aspx?aid=40815 vous ne risquez pas grand chose.

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