Champion du monde : La souris d’Agnel

Une demi-longueur d’avance en méforme. En forme c’était moins d’1’42

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Il y a des gens qui préfèrent parler et d’autres qui préfèrent agir. Fabrice Pellerin la star qui entraînait le jeune Yannick Agnel a choisi de faire les deux en ajoutant l’arrogance. Pour les paroles tout le monde en a parlé, pour les actes, il a foutu la merde et sa pouliche a apprécié en se plantant dans les grandes largeurs et sur les 8 longueurs du 400. Il lui reste le 200 pour finir d’humilier Yannick Agnel. Car pour l’instant c’est l’inverse. Jusqu’ici il s’était contenté de ne pas évoquer autre chose qu’un manque de tendresse à croire que sa politesse n’allait pas jusqu’aux termes « gros connard » et « sale fils de pute« .

Yannick a fini par craquer. Il a fait sa première longueur en avance sur le record du monde, les 3 suivantes avec un seul bras, sans battre des pieds. Sans oublier de mettre le petit Ryan, onze fois médaillé olympique, qui ne venait donc pas d’apprendre à nager et tous ses amis, à plus d’une seconde comme s’il nageait contre des femmes. Non seulement Yannick Agnel s’est débarrassé de son meilleur ennemi en allant s’entraîner dans la Mecque de la natation, mais en plus il croyait modestement qu’il ne finirait que deuxième. Pellerin a de la chance en Roumanie on l’aurait pendu, en Colombie, fusillé.

Connaissez-vous l’histoire du mec qui s’entraînait dans une pataugeoire à Nice, coincé entre le cours d’aquagym du troisième âge et l’initiation à la brasse des 6/7 ans sous la coupe d’un tyran manipulateur ? A la fin on lui propose d’aller s’entraîner dans le meilleur centre de natation du monde avec les meilleurs équipement et le plus grand entraîneur.

 

 

 

 

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