Handball féminin : Sex Yachine

Si elle n’avait jamais existé, on aurait été privé des cris de Margotton. Dommage.

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Lev Yachine a eu une fille, elle est française et s’appelle Nicolas. Mais le Ballon d’Or, ça n’a jamais existé au hand.

Trois fois championne de France, deux fois du Danemark, trois coupes d’Europe dont une Ligue des Champions, une Supercoupe d’Europe, des coupes nationales en pagaille : Véronique Pecqueux Roland aimerait aussi avoir une salle des trophées chez elle. Mais en Equipe de France, pas de jalouse. Chacune a le même palmarès mais pas le même physique.

Cano de sauvetage

Voilà comment la meilleure gardienne du monde termina les JO en pleurs dans les bras de Gérard Holtz. Nelson avait piscine. Un championnat du monde assorti d’un titre de MVP, ça ne suffit pas à effacer les souvenirs. Oui, Camille Ayglon a trop souvent été seule aux 6 mètres. Non, ce ne sont pas les exploits de Nina Kanto que chante Old Trafford. 6e des JO de Sydney, 4e à Athènes et 5e à Pékin, Nicolas n’a pu grappiller que deux médailles de bronze aux championnats d’Europe. Durant tout ce temps, Krumbholz n’a jamais pu se débarrasser ni de son urticaire, ni de Stéphanie Cano, ni d’une nouvelle finale mondiale. Valérie si.

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