Real-Bayern : Benz et c’est Bastian

Neuer-Casillas : mais qui sera Ballon d’or ? Peu importe : le Real a gagné au Camp Nou. Bravo.

Tout avait commencé par un foutage de gueule. Hier soir, pendant qu’un autre foutage de gueule se jouait au Camp Nou, Mourinho amenait Granero découvrir les coulisses d’une conférence de presse de demi-finale de C1. Interloqués, les journalistes ont posé des questions mais avaient-ils vraiment envie de savoir ce qu’on ressent en entrant à la 109e minute ? Sans doute pas. Ils auraient préféré par exemple savoir où Khedira et Marcelo ont appris à si bien rater leurs passes, ou si Ozil et Di Maria manquent soudainement les gros matches du printemps à cause du pollen. Mais ils n’en sauront rien non plus.

Boudeuse Liga

A la place, tout a fini par un foutage de gueule. Il se produit 38 fois par an et s’appelle Liga BBVA. Ce championnat si spécial où l’on peut marquer 100 buts en 30 matches, avoir des buteurs qui dépassent les 40 et se laisser amadouer quand même. On peut coller sept buts à Osasuna et penser qu’on fera la même chose à une équipe allemande. Et la Liga devient un précieux allié quand elle programme un clasico entre les demi-finales aller et retour. Mais comment prévoir que le Real et le Barça pourraient y être ? Faire tourner et lâcher le championnat juste pour être champion d’Europe, c’est réservé à ces cons d’Allemands et d’Anglais. Bien fait pour eux.

Les pichis chient

Papin et ses chaussures sportswear bon marché ont pourtant tenté, eux aussi, d’être à la hauteur de l’événement. Mais ça n’a pas suffi. Le Real a été champion d’Europe de l’été dernier au début du printemps, le temps d’oublier comment il l’était devenu : par le pressing haut, les courses, le dynamisme. Bernabeu a pu constater que ça faisait des dégâts hier soir encore, mais le Real ne jouait pas en rouge.

Il est évidemment savoureux de constater que Ronaldo a réussi le penalty qui ne qualifie pas et manqué celui qui qualifie, mais découvrir qu’il manque ses grands rendez-vous c’est comme découvrir que Benzema a été le meilleur. C’était le cas à l’aller, c’était le cas au retour, mais tant qu’il n’osera pas tout faire tout seul il laissera le Ballon d’or aux autres. Faudra-t-il que Robben l’obtienne pour qu’il comprenne ? Higuain, lui, a compris. On n’est jamais sur les tablettes du PSG par hasard, même dans un France Football sans sujet sur Otokoré.

Pendant ce temps-là, le samedi 19 mai à 20h45 W9 organise une soirée spéciale Simpsons.

Real Madrid : Benz l’oncle saoule

Le 27 octobre, Marca annonçait la mort de Benzema. Son cousin Benzeman était en Une ce matin.

Que signifiait « Mourinho ya tiene un 9″ sur le site Internet de Marca, hier soir, vers 23 heures ? Pour ceux qui ne liraient que As et son « Benzema Superstar » de ce matin, ça veut dire grosso modo : la presse espagnole pue la merde. Mais soyons justes, tout le monde peut se tromper. Mettre un triplé à une équipe qui ne défend pas dans un match sans enjeu, après une rentrée pourrie contre Valence et un non match contre le Barça, ça valait au moins ça. Higuain et ses plus de vingt buts par saison ont été contents d’apprendre qu’ils pouvaient être remplacés par le meilleur joueur du monde. Heureusement, il y a toujours des sites à la con pour annoncer qu’Eto’o pourrait rejoindre Mourinho. Benzema est donc toujours en danger au cas où Gordon Dzecko serait trop nul, d’autant que l’Intériste ne pourra pas jouer la Ligue des champions.

L’esprit Sorin

Le reste, Karim l’a expliqué à Drogba sur Canal : « Continue de marquer des buts, je te suis. J’aime bien ton jeu. » A croire que l’espoir londonien peut espérer faire carrière à condition de suivre les conseils de la star madrilène. Son sourire ne trompe pas. D’ailleurs, il n’en a pas fait après son premier but, ça restait Auxerre et marquer dans les six mètres c’est le boulot d’Higuain d’habitude. « J’ai du temps de jeu avec la blessure d’Higuain. »

Se réjouir de la blessure d’un concurrent est plutôt naturel. Quand le concurrent est le titulaire, qu’il a marqué quatre buts en vingt-cinq matches de Ligue des champions contre des Suisses et des Hollandais et qu’il préfèrerait éviter de se faire opérer du dos, c’est aussi naturel que de porter son total à dix-sept buts en vingt-neuf matches contre des Français et de piquer le 300e but madrilène en C1, au cas où les gens voudraient ne pas se souvenir de lui. Marquer d’un lob sans angle du droit,c’était juste pour montrer à Cristiano que lui il sait faire. Et de toute façon, si Ronaldo, Diarra et Sorin n’avaient pas été là, Benzema n’aurait pas vu le ballon.

Vaut-il mieux marquer un but toutes les 145 minutes, ne le faire qu’en Liga et avoir mal au dos, ou un but toutes les 125 minutes en sélection et en C1 à défaut d’avoir le droit aux jolies défenses de la Liga ?

L’Edito : La mort de Pepe Carvalho

Xavi-Iniesta, pressing et possession : comme d’habitude, le Barça a étouffé le Bayern.

Karim Benzema a le choix des armes. Feignant, arrogant, pas assez compétiteur, pas assez professionnel, et pourquoi pas y ajouter quelques menaces de mort ? Son entraîneur lui a offert quelques pistes en même temps qu’une titularisation. Il lui a aussi offert Ozil et Di Maria en soutien, donc l’Allemagne et l’Argentine, donc le Werder et Benfica, qui ne connaissent le Camp Nou que de nom. Ozil est bien le meilleur joueur du monde avec 70% de possession contre l’Athletic Bilbao. Inutile donc de le laisser plus d’une mi-temps, un clasico se joue toujours entre Xavi et Iniesta.

En faisant une confiance aveugle à Khedira, Xabi Alonso et à l’Ajax, Mourinho a oublié que Eto’o jouait arrière gauche. Le Real n’est pas transformé, Ramos n’aime toujours pas défendre. Il faut quand même faire un petit effort pour que Messi rate un grand match : il faut un grand match.

Bâle au centre

Roger Federer, lui, a retrouvé ses armes le temps d’un match contre Nadal. A 29 ans, on n’a plus envie de s’emmerder à jouer Murray, ça s’est vu en poules. Mais il faut rendre à César ce qui appartient à César : c’est en devenant n°2 mondial en août que l’Ecossais a obligé Federer à sortir de sa retraite. Le Suisse est de nouveau n°2, Murray n°4, pas sûr qu’on voit Federer en Australie.

Sinon, Iverson vient faire le show à l’Astroballe, mais Collet n’est plus là. Comment peut-il devenir entraîneur dans ces conditions ? Lièvremont, lui, a le choix des lieux pour passer le week-end à se reconstruire : Bourgoin, Castres, Brive ou Bayonne. A croire qu’il n’a jamais vu le LOU.

Pendant ce temps-là, Aulas trouve que Schalke 04 tutoie le surnaturel en ce moment. Et Kaiserslautern, c’était le Barça ce week-end ?

L’Edito : Pédant psychiatre

roufo

Le SU Agen est promu, Castres, le Racing-Metro et Chabal sont en vacances. Il y a des évidences qu’on ne peut pas cacher aux enfants, même dans le cabinet de Rufo.

L’arrogance a donc ses limites. Mal rasé et barbu il y a quelques jours à Valenciennes, Laurent Blanc a compris un peu tard qu’il entraînait bien désormais Lorient, que Gourcuff n’était même pas Micoud et qu’un Pujol sévissait en Ligue 1. Revenu à de meilleurs sentiments, il a vu son équipe battre « un bon Sochaux ». Ricardo manque encore de références.

Certains feraient donc bien de se méfier, la frontière est mince entre condescendance et fragilité. C’est quand c’est trop facile que surgit le danger, par exemple une frappe d’Hilton : voilà comment Lille a failli se faire surprendre par Marseille. Tout est finalement rentré dans l’ordre, il n’y a pas de hasard. Aulas, lui, s’est rendu compte que Claude Puel n’avait toujours pas remis la main sur sa réplique d’Hexagoal, à croire qu’on ne lui en a jamais donné. Du coup, il demande des comptes aux arbitres, la faute de Lloris était litigieuse, la main de Chalmé en quart franchement moins.

Les contes d’Henderson

Que dit Freud quand Chelsea et Madrid marquent plus de cent buts malgré de déjà longues vacances européennes ? Quand Marseille possède le deuxième total le plus faible depuis que le championnat est à vingt clubs, Lisandro devra-t-il être soigné pour avoir été confondu avec Lloris ? Pour récompenser Higuain de sa saison décisive, faut-il rapidement faire rentrer Benzema quand il y a 1-1, quitte à finir à 5-1 ? Seul Arsène rupin reste cohérent, son Arsenal offensif a économisé vingt buts par rapport au champion, Bendtner a pourtant terminé à six buts.

Pour Federer, en revanche, ça dure depuis trop longtemps. A force de ne vouloir jouer que des Grand Chelem, il va se dégoûter du tennis. Jouer Gulbis n’est pas amusant, battre Clément encore moins. C’est Montanes qui en a profité et à 48 coups droits dans le filet par match, on va finir par entendre ça et là qu’il est fini pas plus tard que cette semaine. Amusant : le Mondial commence à peine pour l’équipe de France de hockey et on entend qu’il est déjà fini.

Pendant ce temps-là, Sébastien Loeb fait du tourisme en Nouvelle-Zélande. Il a promis à Ogier de faire le Portugal en marche arrière.

Ligue des Champions : Sans Ciro

bobo

Déjà qualifié, Laurent Blanc a envoyé un de ses petits pulls à Didier Deschamps. Mais il était évidemment trop grand pour lui. Ferrara reste en T-shirt.

Bordeaux a-t-il joué avec son équipe B ?

16 points sur 18.

Mais quand même, c’était bien une équipe B ?

Du calme, Blanc est foutu de les aligner en finale pour prouver que non. Mais dans le fond, vous n’avez pas tort, Hoffenheim cherche effectivement des attaquants pour sa réserve.

Blanc n’avait pas l’air surpris ?

Il a révélé qu’il regrettait la difficulté du groupe de l’OM.

Vous voulez dire qu’il se fout de la gueule de tout le monde ?

Il a mis une cravate satinée.

L’OM pas bon, l’OM mené, l’OM revient, l’OM y croit, l’OM en prend un deuxième. Est-ce une soirée cauchemar ?

Vous n’aviez pas vu Marseille-Milan AC, Real-Marseille, Milan AC-Marseille ?

Est-ce le pressing du Real qui a mis à terre l’OM ?

C’est probablement une erreur d’options de jeu. Arroser la tête de l’avant-centre, faire des passes en touche et laisser le surnombre aux Madrilènes sur chaque contre, Almeria n’avait pas osé le week-end dernier.

Brandao a-t-il marqué sur un superbe enchaînement contrôle frappe à la 15e ?

C’était absolument somptueux. Il était bien sûr hors-jeu.

Arbeloa et Ramos pris de vitesse par Taiwo, Abriel et Bonnart ?

Le Real avait effectivement son équipe type.

On a l’impression qu’Higuain n’a posé aucun problème à la charnière Diawara-Heinze ?

Vous oubliez Bonnart, qui allait trop vite pour son appel à la 19e et qui a taclé trop fort pour son contrôle à la 42e.

A quoi a servi le dernier quart d’heure ?

Ce n’est pas parce que Koné se fait manger, que Lucho ne réussit plus une passe, que Morientes a oublié d’enlever son survêtement et que Valbuena plonge dès qu’il peut qu’ils n’ont pas le droit de jouer.

Edouard Cissé ?

Non, lui il ne jouait pas.

On a l’impression que Marseille aurait pu jouer 3 heures, il n’y aurait pas eu plus d’occasions ?

Vous êtes dur. L’OM a quand même imposé au Real une pression terrible de la 10e à la 15e minute.

L’OM ?

Pardon, Niang.

Pour qui étaient les sifflets lors du remplacement de Brandao par Morientes ?

Parler de démission de l’entraîneur alors qu’on ne l’entend même pas, c’est tout bonnement dégueulasse.

« Après Niang, Pepe rentre avec un bandage sur le crâne. On aura donc deux pirates des Caraïbes ce soir sur la pelouse. »

Thierry Roland n’aurait pas fait mieux.

« A mon avis, ce match ne se terminera pas à 11 contre 11. Il reste une heure à jouer. »

Bien vu. Christian avait un indicateur infaillible : il y avait zéro carton à ce moment-là.

Mandanda : Consonne : L, voyelle : A, consonne : M, voyelle : A. Il y avait aussi Martini en 7 lettres.
Bonnart : Le meilleur marseillais, et il en est dégoûté.
Diawara : Blanc aime de plus en plus la qualité de relance de Ciani.
Heinze : La saison dernière, il jouait dans l’équipe d’Higuain à l’entraînement, ça aide à ne pas paniquer.
Taiwo : Pas si mauvais mais, fait étonnant, il est là depuis des années et l’OM prend des buts depuis des années.
Abriel : Le nouveau Cheyrou, surtout dans les grands matches.
Cissé : Après 90 minutes à Milan, il n’en a joué que 60 hier. Et si c’était lui la botte secrète de Deschamps ? Et si Milan n’avait pas pu battre Zurich ?
Lucho : Deux buts, un peno foiré et le néant, c’est toujours un but de plus que Brandao. Il est venu à l’OM pour quoi déjà ?
Cheyrou : Il a fini capitaine. C’est déjà ça.
Niang : Ca fait bien longtemps qu’il a perdu ses illusions, cette fois il a laissé l’épaule. Koné va être content, Deschamps c’est moins sûr.
Brandao : Cissé si facile, tout le monde peut le faire.
Koné, Valbuena, Morientes : L’Europa League arrive à grands pas.

Le duel ?

Benzema : 1 tir en 30 minutes.
Higuain : 2 tirs en 66 minutes.

Donc Higuain en est toujours à 1 but tous les matches contre Zurich en Ligue des Champions ?

On n’entraîne pas Madrid.

Pellegrini non plus.

Pardon ?

C’était pas une question.

Roger par le doute

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Roger Federer a fêté son récent déclin en battant Nadal chez lui à Madrid, sur terre battue, en finale (6/4, 6/4). L’heure de la retraite a sonné.

La Coupe du Monde par équipes s’est ouverte cette semaine. Tsonga et Simon sont présents et perdants, et pourtant, la planète tennis semble indifférente. Bizarre. Depuis la victoire de Federer sur Nadal, tout le monde ne parle que de ça et personne ne comprend. Comment l’Espagnol a pu craquer contre un autre joueur que Djokovic, Murray ou le petit-Nadal-qui-est-pourtant-plus-vieux-que-lui ? Logique.

Avec son succès, Federer se hisse tout juste à deux victoires en onze matches sur terre battue contre Nadal, qui pourtant est un habitué des défaites sur la surface. On en compte pas loin de trois depuis ses débuts de champion. Federer s’est permis de le faire à chaque fois en finale, à Hambourg 2007 et désormais Madrid 2009. On dirait presque que c’est un grand joueur. Mais ce n’est que son premier titre de la saison, à peine deux finales et quatre demies en sept tournois. Aucun autre joueur que Nadal n’oserait un bilan si famélique, et dire que Roger est aussi vieux que Santoro, à neuf ans près.

Sampras et sans reproche

Devant une telle contre-performance face à un joueur quasi-retraité dont les médias dressaient à longueur de semaines et de papier la nécrologie, Nadal devait vraiment être au fond du gouffre. Les observateurs toujours avisés n’ont pas manqué de le souligner. Mais quelles sont donc ces fameuses circonstances suffisamment atténuantes pour perdre contre un ancien joueur ?

Nadal n’aime pas Courier

D’abord, il a été fatigué par un vrai bon joueur pas fini, Djokovic. Si Federer n’était pas membre honoraire du Top 2, on appellerait d’ailleurs Djokovic numéro 2 mondial. Clin d’œil de l’histoire, Djokovic a échoué ces deux dernières semaines là où Federer a réussi : achever Nadal dès qu’on en a l’occasion, même mené 15-40 quand on sert pour le match. Mais au tennis, savoir conclure, ça ne change pas grand chose, Mathieu en sait quelque chose. Federer a marqué les points décisifs, pas Nadal. La faute à la fatigue ? Djokovic, qui connaît la réponse, se demande s’il faut connaître le tennis pour en parler. Quoi qu’il en soit, la fatigue l’a empêché de passer trop de secondes balles puisqu’il en a passé 79% de premières.

Federer Chang de jeu

Le plaisir pour Federer sera donc d’avoir battu Nadal en retraite. Sans même s’y attendre, Rodger a empêché Nadal de le pilonner côté revers. Sans même s’y attendre, Rodger s’est servi de son coup droit pour déborder Nadal (25 points gagnants contre 12), le hasard fait bien les choses, c’est son meilleur coup. Sans même s’y attendre, Rodger s’est passé de son premier service (62%) pour battre le numéro 1 à la régulière, dans le jeu. Sans même s’y attendre, c’est Nadal qui a eu besoin de sa première balle pour rester dans le match. Sans même faire exprès, Rodger a expédié son complexe Nadal. A croire que c’était une pure connerie et qu’il peut encore fanfaronner d’être le patron. Roland-Garros approche, le complexe Federer de Nadal est déjà en brouillon dans toutes les rédactions, en attendant le dernier dimanche. Djokovic est le seul joueur à avoir souscrit une assurance annulation sur ses billets de retour du vendredi soir. Del Potro n’y a même pas pensé, Murray encore moins. Et Davydenko ?

Pendant ce temps-là, Le Vestiaire boucle sa grande enquête sur les finalistes de Roland. Et Bîmes ?

L’actu

Murray menace Federer

Del Potro-Murray: 7-6, 6-3

Federer en panne

Federer-Del Potro: 6-3, 6-4

Federer retraité

Federer-Nadal: 6-4,6-4

Révisionniste

Anderson: « Lyon ne va pas mourir »

Gourcuff indécis

« Pour l’instant, honnêtement, je ne sais pas encore. Ce n’est pas si facile. Je me sens bien, et je me suis épanoui cette saison. Le groupe est sain, avec de bons mecs, et vit très bien ensemble. »

Question réponse

mauresmo

perdu

Paname City

kezman

Et si Sport24.com croyait encore au Père Noël ?

AFP – Erratum

mosley

F1 – Ferrari: Mosley n’est pas indispensable à la Formule 1.

Nickel chrome

merco

Notre jeu-concours du week-end. Un voyage à Sochaux à gagner en répondant à cette question : A quel footballeur appartient cette discrète Mercedes ?

Indice : il ne joue pas en Allemagne.

A la ramasse

madrid

D’un gamin tchèque simulateur (vidéo) à l’évanouissement d’une anoréxique madrilène pendant un match de Nadal, les ramasseurs de balle se sont fait remarquer cette semaine. On préfère la version espagnole.