Bernard Laporte : Oh capitaine, mes capitaux !

Notre héros, éternel présumé innocent, n’a cessé d’enrichir cet article par ses talents divers. Il reste qu’à force de le republier, bientôt, nos lecteurs nouvelle génération, instruits sur Instagram et Netflix, c’est à dire la plupart, n’auront plus la référence pour comprendre le titre. Vive les réseaux sociaux !

Personne n’a jamais vraiment été capable de dire qui était Bernard Laporte. Un joueur moyen, un sélectionneur incompétent ? Un ministre incompétent ? Un escroc incompétent ? L’entraîneur du champion d’Europe le plus riche de l’histoire du Top 14 ? Un président de fédération  incompétent ? Difficile à définir, mais une chose est sûre, il est Bernard Laporte, il a été réélu et tout le monde a entendu parler de lui.

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Lamour, c’est mieux tout seul

A la différence de la femme de Fred, il préférait donner des coups de sabre qu’en recevoir. A la différence de Ribéry, il n’avait pas besoin de payer pour le faire. Comme Wiltord en somme ? Pas tout à fait.

Il ne faut réduire personne à un fin sourire ravageur de carpe myope, paillasson de l’Elysée. Il était une fois Jeff, un sportif de haut-niveau qui aimait mettre des branlées, comme tout un chacun, aidé de son sabre. Comme tout le monde Jeff faisait Lamour, mais surtout en public aux Jeux Olympiques. Quand  la plupart des escrimeurs mettent en avant le collectif sur leur CV, voire rien du tout, Jeff se plaisait à mettre des médailles d’or sur toutes les lignes.

Sa bio Wikipedia raconte qu’il dominait le sabre français jusqu’à l’arrivée des frères Touya. Et c’est vrai, à eux deux, ils cumulent un titre mondial individuel, Jeff seulement deux titres olympique et un mondial. Et une médaille de bronze à Barcelone ? On ne va pas pinailler, l’escrime est un sport collectif on ne le dira jamais assez. Et puis tout le monde ne peut pas tout gagner. Et tout perdre ?