Cyclisme, Tour de France, Vinokourov positif: …………
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Haro sur le baudet!
Ca y est, Vino s’est fait pincer…on ne sait par quel hasard, parce qu’il faut vraiment être un peu toc pour se faire coincer par ce type de dopage largement pratiqué aujourd’hui (cf votre article sur les poches de sang de Discovery)…In vino veritas peut-être!
Ce que je trouve un peu triste, c’est que d’une part, tout le monde savait pertinemment que notre bon kazakh n’avançait ni à l’eau claire, ni au fromage blanc…ce n’est donc pas une découverte. C’est un peu facile de l’encenser samedi et lundi pour le pourrir définitivement depuis mardi soir, en feignant d’avoir mis la main sur le mouton noir qui nous cachait jalousement son secret. D’autre part, et comme d’habitude, les personnes qui lui tapent dessus devraient balayer devant leur porte…Quand j’entends monsieur Luc Leblanc qui s’indigne sur l’antenne de R.M.C., on attend toujours qu’il nous explique comment il montait Hautacam sur le gros plateau (53 dents? 54?), en n’ouvrant même pas la bouche pour compenser une quelconque dette d’oxygène! Quand je vois monsieur Jean-François Bernard qui, ce matin, sur le site de « l’équipe » donne des leçons pour la lutte contre le dopage en condamnant virulement Vino…Peut-il nous expliquer comment il faisait pour monter le(s) dernier(s) col(s) en traînant Indurain dans sa roue sans s’écarter…pendant de nombreux kms alors que l’ensemble du peloton était à l’agonie derrière lui…mais on sait bien à ette époque, que seuls les italiens étaient pourvus en E.P.O.!
Jalabert a au moins une certaine intelligence dans sa manière de s’exprimer avec retenue : il ne va pas dénoncer des coursiers qui ont recours à des pratiques qu’il a peut-être eues lui même…C’est déjà une certaine forme d’honneteté…
Enfin, je peux vous dire que quand Vino est arrivé en France en 97, à l’ECSEL à St-Etienne, on pratiquait des prises de sang cur chaque coureur. Je le tiens de source sûre. Visiblement, le taux d’hématocrite de ce dernier était déjà assez élevé…Tout le monde connaissait les pratiques sportives des anciens pays de l’est, et on veut nous faire croire que parce que le mur de Berlin est tombé, tout est redevenu soudainement rose dans ces pays. Monsieur Lavenu a bon ton de décrier l’équipe Télékom qui aurait pervertie Vino…N’était-il pas manager de l’équipe Casino en 1998, équipe qui comptait Vino dans ses rangs, mais aussi des gens comme Rodolpho Massi, exclus du tour cette même année…
Je le redis, le ménage est à faire chez les coursiers, certes, mais en premier lieu chez tous les dirigeants, suiveurs, journalistes…etc..qui ont vécu pour/par le cyclisme en ayant des pratiques dopantes ou en encourageant/organisant ce même dopage…Et là, je doute que ce soit possible à 100%!
Vino apparait plus comme le dindon de la farce dans cette histoire. Je pense que l’homme a certaines valeurs…qu’il semble soudainement avoir complètement perdues, si on écoute les commentaires journalistiques depuis hier…
Qui se dévoue pour arrêter Moser après la ligne d’arrivée aujourd »hui?
Haro sur le baudet!
Ca y est, Vino s’est fait pincer…on ne sait par quel hasard, parce qu’il faut vraiment être un peu toc pour se faire coincer par ce type de dopage largement pratiqué aujourd’hui (cf votre article sur les poches de sang de Discovery)…In vino veritas peut-être!
Ce que je trouve un peu triste, c’est que d’une part, tout le monde savait pertinemment que notre bon kazakh n’avançait ni à l’eau claire, ni au fromage blanc…ce n’est donc pas une découverte. C’est un peu facile de l’encenser samedi et lundi pour le pourrir définitivement depuis mardi soir, en feignant d’avoir mis la main sur le mouton noir qui nous cachait jalousement son secret. D’autre part, et comme d’habitude, les personnes qui lui tapent dessus devraient balayer devant leur porte…Quand j’entends monsieur Luc Leblanc qui s’indigne sur l’antenne de R.M.C., on attend toujours qu’il nous explique comment il montait Hautacam sur le gros plateau (53 dents? 54?), en n’ouvrant même pas la bouche pour compenser une quelconque dette d’oxygène! Quand je vois monsieur Jean-François Bernard qui, ce matin, sur le site de « l’équipe » donne des leçons pour la lutte contre le dopage en condamnant virulement Vino…Peut-il nous expliquer comment il faisait pour monter le(s) dernier(s) col(s) en traînant Indurain dans sa roue sans s’écarter…pendant de nombreux kms alors que l’ensemble du peloton était à l’agonie derrière lui…mais on sait bien à ette époque, que seuls les italiens étaient pourvus en E.P.O.!
Jalabert a au moins une certaine intelligence dans sa manière de s’exprimer avec retenue : il ne va pas dénoncer des coursiers qui ont recours à des pratiques qu’il a peut-être eues lui même…C’est déjà une certaine forme d’honneteté…
Enfin, je peux vous dire que quand Vino est arrivé en France en 97, à l’ECSEL à St-Etienne, on pratiquait des prises de sang cur chaque coureur. Je le tiens de source sûre. Visiblement, le taux d’hématocrite de ce dernier était déjà assez élevé…Tout le monde connaissait les pratiques sportives des anciens pays de l’est, et on veut nous faire croire que parce que le mur de Berlin est tombé, tout est redevenu soudainement rose dans ces pays. Monsieur Lavenu a bon ton de décrier l’équipe Télékom qui aurait pervertie Vino…N’était-il pas manager de l’équipe Casino en 1998, équipe qui comptait Vino dans ses rangs, mais aussi des gens comme Rodolpho Massi, exclus du tour cette même année…
Je le redis, le ménage est à faire chez les coursiers, certes, mais en premier lieu chez tous les dirigeants, suiveurs, journalistes…etc..qui ont vécu pour/par le cyclisme en ayant des pratiques dopantes ou en encourageant/organisant ce même dopage…Et là, je doute que ce soit possible à 100%!
Vino apparait plus comme le dindon de la farce dans cette histoire. Je pense que l’homme a certaines valeurs…qu’il semble soudainement avoir complètement perdues, si on écoute les commentaires journalistiques depuis hier…
Qui se dévoue pour arrêter Moser après la ligne d’arrivée aujourd »hui?