On s’est longtemps demandé pourquoi Julien Lorcy était surnommé « Bobo ». « Non ! », affirmait Jean-Claude Bouttier, ce n’était pas un lointain hommage au camarade Boris Elstine. Pour comprendre, il fallut attendre le 7 août 1999. Ce jour-là, un professeur italien dénommé Steffano Zoff lui administra volontiers une leçon de boxe et fit bobo au gentil Juju. Quatre mois auparavant, Lorcy avait réussi à ramener un bout de la paupière de Jean-Baptiste Mendy en guise de ceinture mondiale WBA.
Deux ans après, Julien menaça un pauvre Japonais de lui faire « bobo » s’il ne lui rendait pas son titre. Le nippon un peu moqueur mais très respectueux de son hôte (c’était à Tokyo), ne se fit pas prier pour faire cadeau de sa ceinture qui ne lui servait qu’à serrer son kimono. Cette fois, le gentil Julien n’attendit pas trois mois pour se faire étaler par un certain Raul Balbi que même Souleymane M’Baye battra quelques années plus tard. Avec deux nuls et quatre défaites, le bilan de « bobo » est flatteur, à moins qu’Hacine Cherifi ne soit pas le bon exemple. Apparemment, il n’y eut que Don King qui ne s’en aperçut pas.
ce contre rendu est faut je connais depuis 1993 bobo et donc son pere daniel lorcy j ai toujours entendu daniel appeller bobo alors se message est mansongeux
Malheureux,les simples d’esprit