Le roman du perd OL : La capitale dégueule

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Après le premier but d’Audel, Benzema a confirmé qu’il restait un an de plus. Sur son second, c’est Puel qui a reçu l’assurance de mener à terme son projet quadriennal. C’est qui, ce Audel ?

Ce ne serait donc pas une légende. Juninho a bien manqué à Lyon samedi soir à Valenciennes. Les sceptiques penseront que le septuple champion de France n’en sort pas honoré, mais les achats d’Elber, de Fred, d’Ederson, de Carew, du LOSC 2006 et surtout de Delgado incitent à la nuance. Perdre à Valenciennes n’a donc rien d’immoral. Pujol, Audel, Pieroni, Sebo, Danic, Bangoura, Mater : même en l’absence de Darcheville, les Nordistes ont fait parler leur puissance de feu.

Schmitz et Bisevac ne l’auraient pas qualifiée comme ça, mais les jeunes Cris et Boumsong n’ont pas leur culture du haut niveau. En revanche, le second a fait de la philo et ça se voit : « Dans la vie il n’y a pas de hasard. Cette fragilité, que je soupçonnais, n’est pas irrémédiable. » Les actionnaires d’OL Groupe sont rassurés. Lyon a peut-être perdu la bataille qu’il ne fallait pas perdre, peut-être après en avoir perdu cinq sur les neuf dernières. Mais l’essentiel est préservé : Benzema et Benarfa resteront jusqu’à ce que l’OL gagne la Ligue des Champions.

La der d’Eder

Comme l’a toujours pensé Ibrahim Ba, une année sabbatique, ça ne fait jamais de mal. Pour la Ligue des Champions, Toulalan, Benzema et Lloris émettent un bémol ; Fabio Santos, Mounier et Pjanic un ouf de soulagement. Aulas, lui, est perdu, tout au plus. « En descendant à la mi-temps, j’ai croisé Fabio Santos et Bodmer. » Le coup était déjà rude. Non sans hésiter avec Ducourtioux et Penneteau, il les a invités à rejoindre le vestiaire, bien aidé par le maillot bleu qu’ils portaient.

Mais JMA ne perd pas le moral. Payer un timbre de quatre millions d’euros pour adresser un contrat au nom de M. Frédéric Piquionne, ça prépare au meilleur. Entre deux bénédictions, Perrin ne lui manque même pas un peu. « On a changé d’organisation avec un manager à l’anglaise, pour quatre ans. On veut de la stabilité et une évolution en douceur de l’effectif. » Benarfa, Squillaci, Mensah, Pjanic, Makoun, Ederson : Lacombe capte très bien OLTV chez lui.

Pendant ce temps-là, Aulas se réjouit d’avoir posé la question de confiance aux joueurs sur leur entraîneur. Santos a voulu s’abstenir avec les poings. Sinon, le plébiscite en silence sera un bon ciment pour l’an prochain.

Une réponse sur “Le roman du perd OL : La capitale dégueule”

  1. Audel a de la contreperformance lyonnaise, Mater les joueurs de sa propre équipe semble devenu difficile pour Claude Puel. Aulas! la saison lyonnaise était prévisible, les concurrents ne sont pas meilleur mais la machine à gagner s’est enrayé bien avant que claude Mc prenne le microphone en love de rire raggamuffin. En recrutant des stars du ballon rond comme la Keita mine, Bodmer à boire ou encore ma kundera, l’OL nous rejoue Lost(c). Et, grosso modo, c’est pas Pjanic ta mère qui dira le contraire, le roi de la jungle s’est mué en paresseux.
    Valenciennes avait bien des atouts et josé saez avait bien dénoncé le le mal qui frappe le football européen durant les victoires de la musique, mais on ne peut s’empêcher de penser que ce lyon là a subit une faute de govou. Navet ils pas les réponses entreposées dans lacomb(l)e?
    Ok un peu tiré par les cheveux mais je ne peux me résoudre à boire du bordeaux alors je me sèche au vin de pays d’oc en attendant que montpellier remonte en ligue 1.
    Tafer plus pour gagner moins, tel est le credo lyonnais en cette fin de saison, et rien ne semble pouvoir Réveillère la bête qui sommeil (david?).

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