L’Edito : Riis en rebondissements

La polémique Ferrari à Hockenheim aurait profondément ému les deux amis Contador et Schleck. Ils étudieraient la possibilité de recourir à une accolade Massa-Alonso.

ASO, le dopage,  John Gadret et le cyclisme français, Thierry Bisounours ou le Tour lui-même : au lendemain de l’arrivée sur les Champs, on ne sait toujours pas qui est le vrai vainqueur du Tour de France. En tout cas, pas Contador, le vainqueur n’a quasiment pas attaqué et remporté aucune étape, il n’est même plus sûr d’avoir connu son pic de forme cette année. Vivement l’année prochaine, le Top 30 du contre-la montre sera sa priorité. Schleck, lui, ne désespère pas, il pourra bien reprendre ces 39 secondes dans l’Alpe d’Huez l’an prochain.

Avant que l’ennui nugget

En parlant de nuggets, Usain Bolt ne sera pas champion d’Europe, à moins qu’il n’épouse Merlene Ottey. Les jeunes Français ont donc toutes leurs chances cette semaine à Barcelone, à tel point que France 3 prend tous les risques en remplaçant Plus belle la vie par Montel tous les soirs. Pourvu que Tamgho réussisse à sauter, que Lemaître fasse 10 »05, Lavillénie 5,80m et Doucouré 13 »40, ça pourrait suffire. Sinon, après Pékin, Londres n’échappera pas à Philippe Delerm.

En parlant d’intellectuel, Grégory Coupet serait descendu du car, l’OM n’encaisserait pas de but sans Mbia, Govou serait parti de Lyon. La reprise de la Ligue 1 approche et avec elle son lot de fausses rumeurs, mais on peut se tromper. On entend aussi dire que le PSG serait séduisant en matches amicaux, Le Vestiaire complètera dans les jours prochains ce que le Legia Varsovie a déjà dit à ce propos.

Pendant ce temps-là, le roi Richard est de retour à Gstaad, après seize mois sans compétition .

Une réponse sur “L’Edito : Riis en rebondissements”

  1. Tout à fait. Schleck a fini 44ème du clm et il soutient qu’il avait une forme optimale. R.A.S. Tout va donc bien, il a donc toutes les cartes en main pour remporter un jour un Tour de consolation. Perreiro confirme. Mais Contador, est en fin de carrière, il a 27 ans.
    Certes, Pantani a gagné un tour, son adversaire était Ullrich, paraît-il. Cela fait sourire l’Espagnol. Andy (oui, on s’appelle par les prénoms maintenant) attend désespérément l’intervention du Port (dixit Thierry Bisounours) pour sortir enfin Alberto de sa roue.

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