L’Edito : Staut mouton

C’est de l’équitation : effet JO ou effet mois d’août ?

Oui, vraiment, ces derniers makis du duty free de l’aéroport de Tokyo sont un mystère. Digestes ou non, avant de reprendre le cours de sa vie, il faut pourtant bien les avaler. C’est un peu comme les corneurs de Houiller. Et oui la saison de Premier League a repris et comme Canal ne craint pas la concurrence de Be In sport, Stéphane Guy n’a vanté que vingt fois le match de Samir Nasri « que tous ceux qui le critiquent pourront se repasser parce qu’il a fait beaucoup de passes en une touche de balle« . Il faut vraiment le haïr parce que c’était Manchester City-Southampton. Hardi promu, et la promesse d’une saison pleine de surprises : Hazard sait dribbler des défenses anglaises et Higuain joue et marque quand le Real atomise Valence 1-1.

En parlant de promu, Grenoble a surpris Bordeaux-Bègles. Et non le rugby n’intéresse toujours personne, même si le Stade Français a fait forte impression, enfin il paraît. Qui s’occupe vraiment du top 14 l’été, alors qu’il y a tant de mariages ou de partouzes avec cinq inconnues en rentrant de boîte à célébrer.

US aubaine

Sinon, au détour de quelques aces, Roger Federer a collé un 6-0 à Djokovic. Cela aurait pu passer inaperçu en 2010 mais aujourd’hui le premier est retraité et le second numéro un mondial. L’état du tennis mondial vaut celui de la paire de tendons rotuliens de Nadal, que l’on pourrait revoir au Masters, sauf si Chardy et Haas continuent à ce rythme bien sûr. A l’approche de l’US Open, on pencherait presque pour Murray s’il n’était pas champion olympique. « De repenser à ça maintenant, c’est juste incroyable. » Roger s’étonne-t-il justement d’une récente défaite contre Murray, d’avoir tant perdu en Grand Chelem depuis deux ans ou d’avoir attendu cinq Masters 1000 de Cincinatti pour gagner le premier ?

Pendant ce temps-là, la Ligue 1 se hasarde aussi à un bond dans le passé. Mais le Vestiaire attendra demain pour inaugurer son tout nouvel edito Ligue 1, le temps de trouver un titre et quoi dire sur Gignac.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *