Hockey, Babcock : Qui a la plus grosse ?

Tous les médias vous en ont parlé : Obama et Harper parient des packs de bière sur les résultats de leurs équipes. Mais il ne s’agissait que de leurres pour éviter les sujets de fond. Notre spécialiste hockey revient pour vous sur les véritables enjeux de la compétition.
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Par notre spécialiste hockey, Lachèvre de Tyler Seguin

 

American Gangster

Les médias vous mentent. Après avoir couvert l’ascension de madame Irma à la tête du pouvoir Russe, ils persistent et vous manipulent. Vous avez un problème. Vous ne savez plus quoi faire. Heureusement, une équipe de journaliste est là, pour vous. Cette équipe c’est … Le Vestiaire. Non, nous ne mentons pas à nos lecteurs. Nous dévoilons la supercherie. L’enjeu de la demi-finale Canada-USA était bien plus grand qu’une pauvre caisse de bière. Oui : le perdant doit désormais garder Justin Bieber.

Oncle Sam et Uncle Benn

Avec une courte défaite de 1-0, ne comptez pas sur l’Oncle Sam pour remercier l’Uncle Benn. Dan Bylsma a encore un peu de mal à accepter ce que vient de lui faire avaler Mike Big Babcok. Les américains comptaient s’imposer dans le jeu physique. Il leur avait donc échappé que les Canadiens se préparent à cette éventualité depuis 10 générations en transportant des troncs d’arbres et en chassant le caribou à mains nues. C’est donc sonnés comme un Morgan Parra rencontrant Ranger que les USA ont abordé la petite finale. 5-0 pour la Finlande, score final. Une déculottée.

Canada Booze

De quoi réjouir les Canadiens pour la finale face à la Suède. Afin de fêter dignement l’événement, Toronto à même revu à la baisse les lois limitant la vente d’alcool. Il était donc autorisé d’être saoul dès 6h du matin. Le Canadien est de nature polie : il ne refuse pas et ne dit jamais non. A une exception près : lorsqu’il a un bâton dans les mains, le Canadien ne fait pas de Jacques Cartier. Les Suédois l’ont découvert à leurs dépens et ont été démontés façon Ikea. On reprochait aux feuilles d’érable de ne marquer que par leurs défenseurs ? On disait que le trio d’attaque regroupant Crosby et Kunitz était plus manchot que pingouin ? Réponse simple et efficace : un but pour Toews, puis Crosby et Kunitz. 3-0. Carey Price compte ouvrir une blanchisserie.

Montréal aurait d’ailleurs aimé récupérer Price en un seul morceau. On espère que vous avez profité du spectacle : les bons joueurs ne seront probablement pas là dans 4 ans. Le Vestiaire attendra-t-il donc les JO de 2022 pour reparler de hockey ?

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