Ligue 1, 23e épisode : Le carnet de cheikh

L’OM veut Aliadière, Aliadière veut l’OM, mais qui veut vraiment voir Aliadière à l’OM ?

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Pendant longtemps, on a cru à une blague. Le PSG voulant recruter une superstar au milieu jetait son dévolu sur l’un des cent meilleurs. Même Blanc pensait que ça ne passerait pas, que ça serait trop gros. Et pourquoi pas Eric Carrière ?Mais non, désormais il le sait il peut faire ce qu’il veut.

Que signifie la venue de Cabaye au PSG ?

Il y a deux manières de voir les choses. La première, c’est une recrue pour jouer au milieu quand Verratti, Motta et Matuidi ont besoin de prendre un peu de repos. Certes, ça fait un peu cher la rotation, mais pas tellement plus qu’une relaxe avec Zahia. Et il y a la deuxième manière de voir les choses. Cabaye, c’est Blanc. Il l’avait installé en équipe de France, il le voulait, il l’a eu à un prix étouffant toute concurrence. Depuis, Blanc est comblé et il a vraiment des raisons de l’être. 1, Khelaifi a évidemment eu droit à la question « Ibra et Thiago Silva connnaissaient-ils Cabaye ? » et il a répondu que lui oui. 2, Khelaifi a aussi organisé une conférence de presse au Parc des Princes pour Cabaye comme pour les autres sauf Digne qui ne valait que 15 millions. 3, la Ligue a homologué son contrat en deux jours alors que c’est quatre normalement, comme ça il jouera à Bordeaux, et 4 les journaux télé en parlent. La prolongation du contrat de Blanc jusqu’en 2027 n’a jamais été aussi proche.

Hoarau jouera-t-il ce soir ?

Bordeaux et le PSG l’espèrent, mais pas pour les mêmes raisons. Ce serait triste pour Bordeaux si le club n’était pas à trois points de la 4e place.

Blanc le trouve-t-il toujours atypique ?

Plus que jamais.

Djibril Cissé va-t-il marquer un but avant la fin de saison ?

Il ne faut pas l’exclure. Il est quand même venu à Bastia au prix d’un gros sacrifice financier et sportif, car Krasnodar c’était quand même autre chose. Il est venu pour aller au Mondial donc il est motivé. Ca fait quand même de sacrées bonnes raisons de revenir à un niveau décent et d’espérer marquer un but. Ca ne s’est pas fait lors de la défaite à Valenciennes où il a été remplacé avant l’heure de jeu sans s’être créé d’occasion, ça ne s’est pas fait lors de la victoire contre Bordeaux car il était blessé, pas non plus à Lens car il était encore blessé, mais là c’est sûr ça c’est imminent. A 32 ans, il court toujours vite et s’il a choisi Bastia c’est parce qu’il y a des passeurs pour lui filer tous les ballons. A noter que les passeurs, eux, ne l’ont pas choisi.

Lyon est-il l’équipe en forme du moment ?

6 victoires de suite en 2014, ça vous classe une équipe. Ou plutôt ça vous classe 6 équipes : La Suze-sur-Sarthe 7e de la DH de la Ligue du Maine, Sochaux 20e de Ligue 1, l’OM 5e de Ligue 1, Reims 9e de Ligue 1, Yzeure 2e du groupe B de CFA et Evian 17e de Ligue 1. C’est vrai que depuis le 4-0 au Parc le système en losange ça marche bien, et Gourcuff et Grenier régalent.

Alors Lacazette va aller au Mondial ?

Sans doute, mais seulement si on ne reparle plus jamais de ses apparitions lors de la tournée de l’été 2013 en Amérique du Sud. Jamais.

Ligue 1, 8e journée : L’haleine de Verts

30 journées avant d’accueillir Angers, la Ligue 1 continue à se préparer tranquillement. Ce sera sans Eric Hély. Qui ?

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Saint-Etienne a-t-il les armes pour re-gagner ?

Tous les voyants sont au vert, Saint-Etienne n’a jamais été aussi dans de telles dispositions mentales cette saison. 6e, à 3 points du podium, après deux défaites d’affilée : on est bien loin du Saint-Etienne – Toulouse d’il y a deux journées quand la 1ere place leur tendait les bras. Pour le titre c’est déjà terminé et Hamouma ne marque plus, surtout contre Marseille. Une bonne chose de faite. Du coup Bastia va sans doute prendre une volée et tout le monde fera de Saint-Etienne le trublion du championnat.

Qui ira voir Sochaux-Valenciennes ?

A priori, pas grand-monde. Après la démission d’Eric Hely, Omar Daf est devenu entraîneur et sa première décision a été de convoquer un groupe élargi de 18 à 24 joueurs, dont Butin et Roussillon. Si on compte bien, ça fait 26 inconnus d’un coup. En face, Valenciennes arrive avec la pression mais Jean-Raymond Legrand a assuré Daniel Sanchez de sa confiance. Sanchez, Sanchez, mais oui Sanchez, vous savez. Ah non vous savez pas. Genghini était sans doute un peu trop reconnu dans la rue pour cautionner ça plus longtemps.

Montanier prépare-t-il un futur champion de France ?

Avant Daniel Sanchez, à Valenciennes, il y avait Philippe Montanier. Un type très sympa, qui porte vraiment bien le costume, adepte du beau jeu et qui a envoyé grâce à ça la Real Sociedad en Ligue des Champions. Ça a suffi à convaincre Rennes qu’il était l’homme de la situation. Car le club breton veut revivre les belles années où il avait des brutes pour défendre, un passeur pour passer et un buteur pour marquer, plus quelques jeunes du centre de formation, et ça finissait 4e ou 5e. Rennes faisait peur à tout le monde, en tout cas les trois-quarts de la saison, et les choix capillaires des Delamontagne n’y étaient pour rien. 7 journées, trois 0-0, 7 buts marqués, 4 encaissés, ça pue le spectacle à plein nez et Rennes est 5e. CQFD. Vivement qu’ils rencontrent Marseille, Monaco, Saint-Etienne et Paris d’ici décembre, qui ont bien besoin d’une bonne leçon de beau jeu.

En saura-t-on plus sur Lacazette ce week-end ?

Eh non, puisqu’il a réussi à se faire expulser à Ajaccio pour deux cartons jaunes de contestation dans les arrêts de jeu. Dommage, on ne le verra pas pour ce Lyon-Lille devenu comme Loana, moins alléchant les années passant. Mais eut-il fallu le voir pour comprendre qu’il n’a plus marqué depuis son incroyable début de saison à 3 buts en deux journées ? Il faut rester juste : il n’est pas tout à fait nul à chier, juste 8e de L1 avec 3 défaites en 7 matchs.

Battre Lyon, le déclic pour Ajaccio ?

Quelle drôle d’idée. Reims n’a plus gagné un match (quatre nuls) depuis sa victoire à Lyon, Pascal Dupraz n’a pas tout à fait sauvé sa tête en battant Lyon il y a trois journées. Et l’intouchable Real Sociedad s’est découvert de nouvelles ambitions depuis son scalp propre et net de l’ogre lyonnais : jouer le maintien. Trois défaites dont une à domicile en Ligue des Champions, et deux 0-0, généralement ça laisse pas vraiment d’autre choix. Après, si marquer contre Lyon a relancé Salim Arrache, tant mieux pour lui et Ajaccio, ça peut toujours servir et si c’est pas pour le maintien, c’est au moins pour quelques agents l’été prochain.

Thauvin a-t-il bien deux rayures blanches qui encerclent ses cheveux ?

Mais oui, tout à fait. C’est un joueur très intéressant.
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La Légende : Le cinéma de Jacques Faty

Au détour d’une 36e journée de Ligue 1, on fait parfois de drôles de découvertes. Jacques Faty porte le maillot de Sochaux, c’est donc un peu le nouveau Desailly passé par Epinay-sous-Sénart, Bretigny-sur-Orge, l’INF Clairefontaine et Rennes qui joue à Sochaux. C’est aussi le multi-sélectionné en équipes de France de jeunes qui joue à Sochaux. Desailly il devait être, Desailly il sera, presque : 9 matches à l’OM ça compte, même en 2007-2008, même à 24 ans. Ca rend Sochaux si fier. Il y en a un autre que ça rend fier, c’est Ricardo le petit dernier. Petit et dernier, comme une prémonition : INF Clairefontaine, Strasbourg, AS Roma, Bayer Leverkusen, Nantes en Ligue 2. Et tout ça dans l’ordre. Il rêvait d’être ce grand frère qui rêvait d’être Desailly. Jacques Faty il devait être, Jacques Faty il sera. Ricardo fait même mieux : il est passé sur Canal à 13 ans et mesure 9 cm de plus. C’est donc le plus grand des Faty et ça rend l’Aris Salonique si fier.

L’Edito : Riis de sens

« J’ai un profond sentiment de tristesse. Je suis désabusé par ce petit monde du vélo. » Qui a bien pu prononcer cette phrase ? Christian Prudhomme, Franck Vandenbroucke ou Alberto Contador ?

Les pubs pour les déodorants n’étaient plus suffisantes : Loeb avait décidé d’organiser une fête d’adieu chez lui. Il a salué tout le monde, un moment très spécial, pour les autres, surtout, même si, dit-il, « on n’a pas trop le temps de regarder à ce moment là ». Notre spécialiste le disait déjà, en février 2008 : « Loeb a mis en Principauté plus de 2’30’’ à Hirvonen en roulant pendant deux jours le bras gauche à la portière ». Continuer serait donner de faux espoirs à Ogier.

Les faux espoirs, les Rennais connaissent, comme Saint-Etienne et Toulouse avant eux. Sochaux pourrait suivre, peut-être même Lyon, Bordeaux et Marseille, qui sait. Les grands buteurs se relèvent toujours quand il faut, Gignac, Lisandro et Ciani ont donc frappé et Nice a obtenu un bon 0-0 au Parc. Heureusement que le titre de Ligue 1 ne se joue pas à Stamford Bridge, à l’Allianz Arena ou au stade de France contre l’Espagne. Drogba ? Oui, mais Wenger quand même.

Racing Métro polisson

Cholet a battu Orléans après prolongation pour le Trophée des champions. L’Euroligue approche et avec elle la possibilité de se Collet quelques bonnes taules. Les filles l’ont évité au Mondial, mais mener de treize points pour finalement perdre c’était déjà pas mal, une leçon visiblement apprise Parker. On attend avec impatience la suite du Mondial de volley.

Pendant ce temps-là : « Coaching du Racing, perfs’ de l’alignement biarrot, baisses de régime de Paris : Alain Penaud répond à vos questions. » Qui sommes-nous au juste ?

Ligue 1 : Qui est qui 2010

Après tris mois d’enquête et d’analyse, voici enfin la vérité sur les favoris du championnat. Une chose est sûre, près de 67% de nos lecteurs pensent que Hoarau ne sert à rien. Ont-ils vraiment tort ?

Le règlement est formel : aussi ambitieux soient-ils, tous les clubs ne pourront pas finir 19e cette saison.

En danger

Arles-Avignon. L’entraîneur est surnommé le magicien, manque de bol, il a filé sa baguette à Meriem. La femme de Fred pourrait y voir plusieurs rapports. Changer toute l’équipe troisième de Ligue 2, c’était évidemment un minimum. Associer une sous-défense du Real, la Grèce 2004, Sébastien Piocelle et jouer à coté de la piscine municipale, c’est prendre la Ligue 1 pour une division chypriote. Et la Ligue 1, elle aime pas ça.

Sochaux. C’était donc vrai, la génération Frau-Pedretti-Monsoreau a laissé un vide. Pour celle-là, ça va peut-être venir, Boudebouz n’entame que sa troisième saison et Bréchet sa vingtième. Attention à la Dalmat-dépendance, si on en parle avant Noël c’est foutu.

Saint-Etienne. Recruter un Marchal pour faire la loi, ça marche mieux avec Tommy Lee Jones. Il faudra encore espérer un coup de main des autres clubs.

Nancy. D’abord Féret, ensuite Vahirua et finalement une pelouse synthétique. Correa a oublié ce que veut dire Uruguayen. Perrin, Baup et Courbis cherchent un T2 près de Marcel-Picot.

Lorient. Un Gourcuff et un attaquant international : Lyon sera sûrement prêt à payer cher d’ici peu de temps. Mais le merlu au melon, ça sent mauvais. Disons même que ça pue.

Nice. Ljuboja et Mouloungui ne rapporteront certainement pas 15 millions. Ça ne sera ni plus simple, ni plus compliqué de finir 17e.

Lens. Ca dure depuis quatre ans : aucun club de Ligue 1 ne peut affirmer en début de saison que y évolue aussi. Soit le temps s’est arrêté, soit Maoulida avait signé un contrat de quinze ans. Dans les deux cas, Wallemme n’est pas trop vieux pour remettre un maillot.

Brest. Le chaudron de Francis Le Blé attendait le retour en Ligue 1. Mais, même directeur sportif, Corentin Martins est toujours là.

Paris-SG. A Valenciennes, il y avait Mater et Saez pour aider Darcheville. A Paris, qui va aider Makélélé ?

Lyon. Le meilleur effectif de France, et pourtant on y recense Cris, Gourcuff, Lisandro, Toulalan, Pjanic, Kallström, Makoun, Delgado, Gomis, Briand, Bastos, Gonalons, Lovren, Cissokho, Réveillère, Diakhaté, Gassama et Belfodil. Lloris est-il si fort ?

Marseille. La dernière fois que l’OM avait été champion, il s’était retrouvé en D2 l’année suivante. Le foot est devenu plus ardu : Tapie n’avait pas échangé Ben Arfa et Niang contre Gignac et Rémy plus de l’argent.

Bordeaux. Il a fallu attendre un peu, mais le cimetière a été nettoyé, pour 22 millions d’euros sans les bonus. Carrasso continue de surveiller le charnier, Plasil, Fernando, Diarra et Ciani espèrent s’y faire une place. Devant, il ne reste que Cavenaghi, mais ils sont plusieurs, dont un jeune, mais il n’y a même pas le vrai.

Auxerre. Le Tallec, Langil et Sammaritano pour jouer la Ligue des Champions, décidément Guy Roux voue un culte à Corentin Martins. Sauf que Martins, il aimait pas trop la vraie Coupe d’Europe.

Montpellier. Le nouveau Costa est Chilien. Pas sûr que ce soit suffisant, mais ça peut quand même permettre à Giroud de ne retourner à Tours que dans deux ans.

Lille. Le rouleau compresseur qui marquait trois buts par match est parti pour en marquer trois par saison. Le reste dépend donc de Rami et du Hazard.

Valenciennes. Pujol est toujours là, mais ils battent de plus en plus régulièrement l’OM. Quand Kombouaré est parti à Paris, c’était un choix de qui ? Et Savidan ? Mais Pujol est toujours là.

Tranquilles

Caen. El Arabi, Hamouma, Mollo, Yatabaré. La tâche se complique pour Gignac, Modeste, Hoarau et Lisandro. Comme quoi, Dumas avait raison depuis le départ : des mecs qui courent vite devant, ça dispense de jouer avec des défenseurs dans le foot moderne.

Monaco. La Supercoupe d’Europe se jouera encore à Louis II la saison prochaine, pas la peine de s’emmerder à être européen. Ca tombe bien, Puygrenier est de nouveau prêté.

Toulouse. Le Téfécé est orphelin de Gignac. Ça se passera donc bien.

Rennes. L’ancien entraîneur de Bastia, l’ancien défenseur de Nice, l’ancien buteur de Montpellier, l’ancien maître à jouer de Sochaux. Vu la concurrence, c’est certainement leur année.

Ligue 1 : Stars à homicide (4/5)

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Avant même l’arrêt Bosman, du nom d’un footballeur pas très bon venu polluer un club français, de nombreux joueurs de niveau équivalent sont venus faire un petit tour dans l’Hexagone. Ils y sont si bien qu’ils n’en repartent plus, jusqu’à devenir d’intouchables icônes locales. Quand on est payé pour pas grand-chose, on peut bien fermer les yeux sur l’ISF pendant quelques années. En plus, la bouffe est pas dégueu.

13. Bazdarevic, faut pas pousser Mehmet

Comme Moravcik, Bazda est meneur de jeu. Comme Moravcik, Bazda va s’installer dans un petit club du terroir. Mais lui ne verra jamais Duisbourg. Neuf saisons à Sochaux, une belle retraite dorée pour un joueur aussi décisif que Moravcik, malgré 29 buts en 308 matches. Il est récompensé en 1990 en ne participant pas au Mondiale, alors qu’il a joué les qualifs. A 36 ans, il se permettra quand même d’aller taper dans les caisses nîmoises, puis de ranger tout ça sur un compte numéroté. Le Sulitzer du foot a tout compris avant tout le monde. Même comment prendre en main des clubs de merde, ça peut toujours arrondir les fins de mois.

12. Youm, le gâchis de l’Ouest

Youm courait vite, très vite. Suffisamment pour échapper à Michel Le millénaire et au Stade Lavallois. Pas suffisamment pour fuir Budzynski. La vitesse est une qualité importante pour un footballeur. Pour un attaquant aussi, même si les buts, ça peut compter parfois. 37 en cinq saisons, suffisant pour rejoindre Tunis à 32 ans. Mais cinq saisons quand même. Heureusement il restait le centre de formation et Japhet N’Doram pour trouver un successeur.

11. Pineda, Miguel pour les intimes

La fin de Toulon en D1, ce n’était pas qu’une caisse noire, Meyrieu et Anziani. C’était aussi trois ans et 19 buts d’un attaquant franco-espagnol. Trois ans ? Pas la peine d’en parler.

10. Chaouch, le Rocancourt des pelouses

Chaouch n’a jamais vraiment été footballeur. Il aimait pourtant le faire croire, jusqu’à se grimer en buteur. Un grand club l’aurait tout de suite démasqué, mais même Saint Etienne, Istres et Metz ne s’en laissent pas compter. C’est finalement Nice qui paiera l’addition. Quatre ans et 32 buts plus tard, tout le monde se demandait encore qui était Mohammed Chaouch. Trop tard, les banques de la Promenade des Anglais étaient vides.

9. Hadji, le fantôme de Gheorge

Pour beaucoup, c’est un des meilleurs joueurs africains de l’histoire. Pour d’autre, c’était la star de Nancy. Alors que son frère Youssouf a déjà passé neuf ans à faire ses preuves, quatre ans suffiront à Mustapha pour se présenter à Marcel-Picot. Quatrième, douzième, septième et troisième, c’est de la D2. On n’arrêtera plus Hadji, de Coventry à Sarrebruck, en passant par Barcelone. L’Espanyol de Barcelone. Pourquoi le Maroc n’a-t-il jamais passé les huitièmes d’une Coupe du monde ?

8. Soumah, de Morlaye à Bastia

S’il a passé treize ans à Bastia, Soumah rappelle surtout au monde entier que Bastia a évolué une décennie en D1. Ce n’est pas le moindre de ses mérites, le capitanat de la Guinée en est un autre. Comme il n’a jamais su choisir, il est devenu adjoint de la sélection et recruteur pour Bastia.

7. Koot, que coûte

Les footballeurs font parfois des choix douteux. La passe de merde pour Ayache en était une face à Nantes en 1994, le choix de venir à Cannes en est une autre. Au passage, il quitte le PSV Eindhoven, la Ligue des Champions (deux matches contre Bordeaux) et la sélection hollandaise (3 sélections) mais il s’en fout, il a joué 164 matches de D1, 55 de D2 et vu sept festivals de Cannes.

Retrouvez le classement de 14 à 30.