Rugby, Tournoi des 6 Nations, France-Italie : L’expédition d’Emile

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Longtemps le public du Stade de France s’est demandé pourquoi les Italiens jouaient en blanc, hier. Où sont donc passés Chabal et Michalak ?

N’Tamack doit regretter le temps où la souplesse de ses crochets faisait oublier son physique ingrat, le temps où Manuel Guazzi chantait l’amour que Cécilion avait encore pour sa femme et celui où le strabisme de Bernat-Salles n’empêchait pas la France de planter cinquante pions aux Italiens. Floch et Yann David jouaient en Crabos et Pelous pouvait marcher. Bergamasco abîmait ses pantacourts sur la selle de sa Vespa et les circonvolutions du Trophée Garibaldi avaient à peine germé dans l’imaginaire sculptural.

L’Italie a perdu depuis le seul joueur de rugby de son histoire, mais le Castrat Giovanni a encore fait reculer le pack francais. Il va falloir s’y faire. On en vient aujourd’hui à serrer les fesses sur chaque introduction, avec la même résignation coupable que le coiffeur de Julien Tomas.

Le forfait Millennium

Le XV de France a peut-être marqué ce week-end plus d’essais que toutes les autres nations réunies, mais le jeu offensif prôné par Lievremont a montré ses limites. Trinh-Duc aussi. Diarra n’a fait qu’agiter les bras en touche et Yachvili devrait se contenter de taper les pénalités. Malzieu volleye mieux qu’Arnaud Clément et Picamoles a montré pourquoi il ne jouait qu’à Montpellier.

On ne peut d’ailleurs pas reprocher au Tournoi d’avoir faussé le championnat cette année. Après avoir fait tous les fonds de tiroir du Top14, le beau gosse de la fratrie Lièvremont semble enfin avoir dessiné un semblant d’équipe-type pour aller mettre 20 points aux Gallois. Les coéquipiers de Charlotte Church sont les seuls à envoyer autant de jeu que nos Bleus. Il y aura la place pour gagner avec un peu de rigueur et de cohésion.

Rougerie, l’homme sans cou, ne verra pas le Millennium Stadium, où la France n’a perdu qu’une seule fois, en finale de la Coupe du monde 1999. Cédric Desbrosse ne s'en est jamais remis.

Football, Ligue 1, PSG : Le camp déluge

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Le PSG a confirmé que son mois de janvier était bien l'accident de sa saison. Paris fait partie des trois moins bonnes équipes du championnat.

Et si, malgré sa boucle d'oreille, Rothen était vraiment le leader du PSG ? Absent à Rennes, il a pu assister au naufrage des siens. Pas une occasion digne de ce nom en 90 minutes. Deux Brésiliens ectoplasmiques comparés à Thomert, le Rennais le plus mauvais du match. Un but contre son camp du capitaine des moins de 18 ans. Un Landreau impérial jusqu'à la fin de l'échauffement. Et Le Guen sur le banc qui affiche la sérénité de l'entraîneur sûr de sa défaite, aussi impuissant qu'un Papin sans son chaperon rougeaud. Comme aux plus beaux jours de Courbis à Lens, les supporters sont partis avant la fin du match.

La tour est fêlée

La chute du PSG suit le feu à la nantaise. Après un sauvetage miraculeux, l'équipe a été appauvrie comme Reynald Pedros. Clément, harassé de jouer chaque semaine à SOS Chantôme, se met à perdre des ballons avec la dexterité d'un Bernard Mendy. Diané a fini sa saison fin janvier. Pauleta court moins vite que les frères Da Rocha réunis.

Du coup, Paris n'a plus qu'un point d'avance sur Sochaux, le 18e. Une équipe bien meilleure, plus technique, plus collective, moins dépressive qu'Alain Cayzaco. Et Paris s'y déplacera pour la dernière journée. La joie de François Calderaro semble bien loin. Une descente en L2 ne serait pas un drame pour le PSG. Elle signifierait sans doute juste la fin du club, reléguant la Coupe des Coupes 96 à un souvenir aussi impalpable que le vrai niveau de Pegguy Luyindula. Mais après tout, n'est-ce pas le réel souhait de son propriétaire qui n'a jamais montré d'ambition particulière pour la branche football du PSG. Investir et rentabiliser, mais surement pas pour s'éterniser avec le PSG historique.  Le Guen a-t-il reçu la mission d'enterrer l'équipe parisienne pour pouvoir tranquillement la transformer en objet autrement plus lucratif ?

En attendant le verdict, à chaque défaite Paul Le Guen blanchit un peu plus. Jusqu'à ressembler à Joël Muller ?

Cyclisme, Nécrologie : Cancer de la selle en phase terminale

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Un fameux sport à deux roues, historiquement malade, s'est un peu trop soigné. Va-t-il succomber à ses piqûres ?

L'affrontement actuel entre l'UCI et ASO ressemble beaucoup au dernier combat entre Freezer et Sangoku. Si ce dernier veut gagner, il va devoir se sacrifier. L'heure du jugement dernier est arrivée. Pat Mac Quaid, tel la femme à Chamou dans une boîte échangiste, a tombé le masque. Il est bien le grand promoteur du cyclisme sale et joue son rôle avec passion. Jusqu'à menacer les coureurs de suspension s'ils font leur métier. L'enjeu n'est évidemment pas Paris-Nice, une course sans intérêt qui a seulement permis à Jalabert de compenser son incapacité à remporter le Tour de France malgré des batteries bien chargées durant l'âge de plomb du vélo. L'enjeu est symbolisé par Astana. Cette équipe cristallise toute la merde qui dégueulasse le cyclisme, depuis toujours sans doute, mais surtout depuis les vingt dernières années et l'arrivée du dopage criminalisé. Bruynel, coureur chez la Once de Saiz, avant de devenir le manager d'un américain sang-gain. Contador, le vainqueur du Tour par exclusion des deux autres lauréats. Et bien sur la marque Astana elle-même, que l'on ne présente plus.

Affreux et à sang

ASO, organisateur de la Grand boucle, ne veut pas de cette petite vérole. Prudhomme a de la mémoire. Il sait qu'en son temps, c'est elle qui mit fin au règne de Louis XIV. Mais a-t-il assez de mémoire pour se souvenir que pendant longtemps, ASO et l'UCI avançaient main dans la main, avec une dignité semblable aux plus belles collaborations. Et c'est bien ça que la bicyclette est en train de payer, mais cette fois peut-être définitivement. Le fils reconnu de Verbruggen et celui illégitime de Leblanc se livrent donc une bataille apparemment totalement opposée mais pour la même finalité : le pognon. L'un veut sauver l'héritage et les méthodes de papa sans se rendre compte que s'il gagne, il aura perdu. L'autre fait l'inventaire de la pharmacie pour tout liquider, ou au moins l'essentiel, car il ne pourra jamais nettoyer totalement certaines parties intimes : torcher les participants n'a pas encore été autorisé. L'équation est simple, mais trop compliquée pour Mac Quaid, gangréné par une éducation insalubre. Quand on a été nourri aux excréments globuleux toute sa vie, il est difficile de passer au steack bio.

Le dopage va tuer le cyclisme, c'est inévitable. ASO, propriétaire et organisateur de la seule épreuve d'envergure, l'a visiblement compris, certes seulement l'année dernière, mais mieux vaut trop tard que jamais. Il faut donc tout faire pour rendre le vélo crédible, et ça passe forcemment par des décisions coup de poing, même si elles sont très risquées.

Au final, ou l'UCI l'emporte et c'est fini, ou bien ASO et les coureurs eux-mêmes tiennent bon, quitte à tout faire exploser, pour mieux repartir. C'est en tout cas la fin d'un monde.

Formule 1, Saison 2008, GP d’Australie : La madeleine de Prost

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Les essais hivernaux ont livré aussi peu d’enseignements que Sacha Opinel en a reçu sur les bancs du collège des Muriers. A moins de deux semaines de la première casse moteur de Mark Webber, Le Vestiaire s’interroge.

Qui de Ron Dennis ou de Nakajima se fera virer le premier ? Comment Hamilton arrive-t-il à enfiler son casque ? Barrichello marquera-t-il un point avant de suivre Coulthard et Fisichella en DTM ? Qu’est ce que Nelson Piquet Junior et Super Aguri font en F1 ? Les Queens Park Rangers peuvent-ils encore jouer les play-offs du Coca-Cola Championship ? Bernie Ecclestone porte-t-il des talonnettes ? Sébastien Bourdais voit-il à plus de cinquante mètres ? Qui est Timo Glock ?

La fiabilité a fait un tel bond ces dernières années que le Grand Prix de Melburne ne permettra même pas à Honda d’assurer ses premiers points. Sauf accrochages, on voit mal comment McLaren et Ferrari pourraient ne pas se partager le podium, même si la Scuderia a pris la mauvaise habitude de lancer sa saison avec un handicap.

Caleçon de conduite

Contrairement à ce que Mad Bernie veut bien faire croire à Ross Brawn, la suppression de l’assistance électronique au pilotage ne favorisera pas plus les dépassements qu’elle ne bouleversera la hiérarchie. BMW, Williams, Renault et Red Bull continueront à ramasser les débris, du moins en début de saison.

On ne souhaite à Bourdais, Kubica et Button que de trouver pour 2009 un volant à la hauteur de leur talent. Hamilton n’a pas la moitié de celui de Schumacher, qui serait encore capable de dominer le plateau après an d’abstinence. L’Allemand manque autant à son sport que les interviews de Karen Minier. Alors, David, slip ou caleçon ?

Football, Ligue des Champions : OL done, but…

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Lyon a montré qu'il avait largement les qualités pour passer. Et surtout les défauts pour se faire éliminer quand même. Le Vestiaire ne voulait pas dire la vérité, mais une fois de plus, il savait et ne s'est pas trompé. Hélas.

Le sport français a encore frappé. Dans la panoplie des occasions manquées, des matches à regrets, Lyon vient de se faire une place de choix, à côté de la demi-finale Nantes-Juventus, 96 mais pas de la finale de Clément contre Agassi. Comme prévu, Lyon n'a pas pris de taule et n'a encaissé que deux buts en deux matches. Ce qui l'était moins, eu égard à leurs possibilités, c'est que les Lyonnais n'en ont marqué qu'un.

Car Lyon avait largement les moyens de passer hier soir à Old Trafford. Pendant aussi longtemps que la carrière de Moussilou à l'OM, Lyon a donné le sentiment de ne pas attaquer un Manchester très prenable. Sauf durant deux ou trois périodes de cinq minutes où l'OL a joué haut, a gardé le ballon. Et mis Manchester en danger. Il n'y a malheureusement pas eu assez d'occasions, comme sur cette bonne récupération de Clerc, qui a superbement centré pour les remplaçants sur la touche opposée. Il a manqué l'esprit tueur de Glasgow, ce regard séducteur que Patrick Blondeau avait devant chaque mollet sans protège-tibia.

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I'm a Fred 

Entre temps, Manchester a réussi à exploiter l'une des rares erreurs de la défense de Lyon. Grosso, planté comme un Pioline en finale, et Ronaldo, qui réussit son seul geste du match. Les grands joueurs, même mauvais, sont toujours là. Les joueurs qui puent aussi, pour polluer le jeu en entrant, comme Keita, qui a touché le poteau sur une offrande de Benzema et perdu autant de ballons que Babacar Gueye derrière Saint-Symphorien. Ou Fred, qui a cherché la faute en en faisant. Il y avait une différence de qualité chez les remplaçants, sans aucun doute. La qualification s'est jouée sur des détails, et celui-là était le principal.

Lyon pourra toujours se rassurer en se disant qu'avec l'expérience acquise, notamment par les plus jeunes, Ben Arfa, Benzema ou Toulalan, l'an prochain ça ira mieux. Ce serait une belle connerie, à la française.

Football, Ligue des Champions : Gare à l’impair, hein !

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Lyon a une grande chance à saisir contre Manchester. A condition de jouer sur ses qualités techniques et d'éviter les erreurs dramatiques, comme faire débuter Fred.

L'OL joue ce soir le match le plus important de son histoire, comme l'an passé contre la Roma et il y a deux ans à Milan. Sans mésestimer le potentiel des Anglais et malgré l'absence de Sylvestre, les Lyonnais ont leur chance. Parce que l'OL n'est pas le PSG, il n'a pas à choisir entre défendre et attaquer. Lyon peut gagner, mais seulement s'il ouvre le score. Dès lors, un choix à faire : doit-on attendre la 75e minute pour sortir, au prix d'un improbable 0-0, ou attaquer d'entrée ? Lyon a subi bêtement une seule fois, à Barcelone. Ils ont récolté une valise qui a failli servir à Perrin.

Claude Puel, avec la circonstance atténuante d'avoir alors eu Odemwingie comme « buteur », a payé pour apprendre que ne pas saisir sa chance à Manchester est criminel. Denis Balbir s'égosille déjà dans ses rêves en imaginant l'enfer qui attend les Lyonnais à Old Trafford dans les trente premières minutes. Le légende, la même qui fait encore de Pauleta une terreur des surfaces, veut que la première demi-heure ne doit être passée qu'à défendre, en priant pour tenir le 0-0. Bizarre : Lyon, l'an passé, n'avait presque pas vu le ballon à domicile contre la Roma et encaissé deux buts en première mi-temps.

Compo dans l'oeil

Lyon doit donc tenir le ballon pour gêner Manchester. Attaquer pour l'inquiéter et surtout, pour marquer. Sur la foi du match aller, ils sont capables des deux. Ce qui exclut Fred : le Brésilien a déjà marqué de son empreinte deux éliminations lyonnaises en Ligue des Champions. A Milan, il perd un ballon brulant sur l'ouverture du score d'Inzaghi avant de vendanger toutes les occasions qu'il peut. Contre la Roma, il garde sa concentration en pétant le nez de Chivu. Sans oublier qu'il y a deux semaines, l'ancien esthète de Cruzeiro a délivré une partition technique proche du défenseur uruguayen type, rendant systématiquement le ballon aux Mancuniens par des contrôles aussi limites que ses fautes.

La composition d'équipe de Perrin ressemblera à son baccalauréat d'entraîneur. Le bac blanc, à coups de 4-4-2 en début de saison, n'avait rassuré personne. Pour Cris et Benarfa, l'entraîneur a des antisèches. Ils joueront demain, sinon Perrin aura de grands soucis. L'adjoint d'Aulas et de Lacombe, vues les difficultés de l'infâme Wes Marron contre Govou il y a deux semaines, a l'interdiction de ne pas lui opposer Benarfa. Et Squilacci a bien mérité d'arrêter les antidépresseurs : jouer avec Cris est autrement moins stressant que le Clebar d'Anderson et Boumsong.

Lyon s'est jaugé à son adversaire uniquement lors du match aller. L'OL avait soutenu la comparaison. Rien ne dit qu'il la soutiendra au retour car Manchester reste plus fort. Mais comme on croit aux miracles, on ne vous dira pas la vérité.

Football, Ligue 1 : Bordeaux a de la bouteille

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Depuis le Bordeaux-OM de 99 et le retourné de Laslandes, Chaban-Delmas n'avait pas connu tel état de grâce. Le spectre de Ricardo n'avait une place que pour Bordeaux-Lille.

D'accord, Mickaël Landreau préfère ne plus plonger pour éviter les boulettes. D'accord, Paul Le Guen n'avait pour solution que de faire rentrer Linda De Souza pour revenir. Mais quand même : Bordeaux a été très fort hier soir. Grâce à un homme, surtout. Non pas Wendel, il est vrai sur un nuage qui l'a transformé en Basile Boli l'espace d'un instant, et qui a marqué en un match plus de buts que Pierre-Alain Frau cette saison. C'est Fernando, la véritable star de cette équipe. Quand il est là, même Micoud se met à faire des passes décisives. Jurietti ne met plus de baffes. Son retour a changé le visage de Bordeaux, soulagé d'un poids comme le public quand Bakayoko est remplacé.

L'équipe du dimanche

Bordeaux a démontré tout ce qui le séparait d'un PSG qui n'a pensé qu'à défendre même à 0-3, à la faveur d'un autisme tactique digne d'être décrypté chez Delarue. Bordeaux est l'équipe de demain, spectaculaire, celle qui aura les faveurs de la télévision si elle ne change ni d'effectif ni d'entraîneur. Deux qualités de haut niveau ont éclaté hier comme une arcade d'Asloum. La capacité à presser haut son adversaire pour l'étouffer. Et les changements de rythme, qui ont fait succomber Paris aussi vite que la femme à Chamou. Sauf carnage de Jurietti et Jemmali à l'entraînement, les Girondins ont assuré leur place en Ligue des Champions. Le Lyon-Bordeaux de la semaine prochaine s'annonce aussi indécis qu'un Mutis-Ascione.

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