L’ancien club de Pelé a son nom dans le métro et Thierry Tulasne celui de Toni Nadal dans son répertoire. Christian et Lennart Bergelin, eux, ne reçoivent plus de textos.
Equitation. Ce n’est ni pour ses relations éphémères avec Teddy Sheringham et Dwight Yorke, ni pour les maillots de l’Angleterre qu’elle porte avec bonheur, que nous nous attardons sur Katie Price, mais bien pour la carrière équestre que le mannequin, écrivain, chanteuse, femme d’affaires a récemment débutée. La reine des tabloïds britanniques, qui aime aussi se faire appeler Jordan, serait pour certains spécialistes du pays « la meilleure chose qui soit arrivée à l’équitation depuis l’invention de la bombe ». Ils ne doivent pas connaître Brigitte Lahaie.
Netball. C’est un sport proche du basket, qui se joue entre filles, à sept contre sept, et à la fin ce sont toujours les pays du Commonwealth qui gagnent. On n’y joue pas ailleurs. Vos Bruits de Vestiaire, vous le savez, aiment vous faire découvrir de nouvelles disciplines, surtout quand ses représentantes se déshabillent. C’est ce qu’ont fait les joueuses d’une équipe londonienne de netball (photo), un peu partout dans la capitale anglaise, pour un calendrier dont les bénéfices seront reversés à un hôpital. Si c’est pour la bonne cause.
Tennis. « C’est vrai, malheureusement », s’est con fessé Boris Becker dans un magazine allemand. Le quadragénaire ne confirmait pas ses difficultés à cacher ses poils de barbe roux, mais bien la rupture de ses fiançailles avec la créatrice de bijoux Alessandra Meyer-Wölden, de seize ans sa cadette. Boum-Boum pourra toujours aller chercher le réconfort chez Barbara Feltus, Angela Ermakova, Sabrina Setlur ou Caroline Rocher, de vieilles connaissances.
Rugby. David Seaman avait choisi le patinage pour occuper ses longues journées de retraité, l’ancienne gloire du rugby anglais Austin Healey, qui joue toujours un peu, mais plus pour Leicester, s’est tourné lui vers la danse. Il participe actuellement sur la BBC à l’émission Strickly Come Dancing, dont il a séduit les juges avec sa partenaire, Erin Boag (celle avec la robe jaune). C’est vrai qu’il a quand même la classe dans son débardeur noir.
Lutte. Le Hongrois Peter Farkas, champion olympique des 82 kg à une époque (1992) où la lutte gréco-romaine n’intéressait encore que Le Vestiaire, s’est évadé juste après avoir été condamné à cinq ans de prison pour culture illégale de cannabis. Il a profité d’une suspension de séance, après que son frangin, Karoly, a prétexté un malaise, pour prendre la fuite. Les frères Guénot n’auraient pas fait mieux.
Formule 1. Daily Mirror, 3 novembre 2008 : « L’argent n’a pas d’importance pour Lewis Hamilton ». Ce n’est que pour son chocolat et ses pendules à coucou que le pilote anglais est d’ailleurs parti s’installer en Suisse.