France-USA : Torrent de boue

Douze ans que le Vestiaire cartonne la planète sport, pardon livre son autre regard sur la planète sport. Mais il n’avait jamais regardé un match de l’équipe de France féminine de foot. Fidèle à sa ligne éditoriale élitiste, notre spécialiste a donc regardé la rencontre la plus importante de l’histoire des Bleues pour juger de leur vrai niveau. Ce jour où il fallait sortir le match de sa vie. Si c’est ça le match de leur vie, on pourrait croire qu’une bonne partie des joueuses n’avaient rien à foutre là.

Voici donc ce qu’il faut penser de la prestation de la bande à Corinne Diacre qui n’est pas la seule responsable du fiasco, à moins qu’elle n’ait pas eu que ça en stock. Car évidemment dominer à ce point, prendre deux buts et n’en marquer qu’un seul est un fiasco si l’on prétend viser le titre mondial. Sinon il fallait commencer par dire que sept joueuses sur onze n’avaient pas le niveau d’une victoire en Coupe du monde.

Elles mériteraient d’être Américaines ou au moins championnes du monde…

Sarah Bouhaddi : La voir devenir championne du monde n’aurait pas fait tâche. Elle a tout fait comme il faut, au point qu’on aurait aimé qu’elle tente de faire taire Margotton, et ses envolée écrites à l’avance pour essayer de marquer l’histoire du commentaire. Il marquera l’histoire de la famille Margotton, c’est déjà bien. Quant à Bouhaddi elle aurait pu mieux placer son mur. Mais bon les Bleues auraient aussi pu marquer trois buts ou mieux défendre sur le 2-0.

Wendie Renard : Pas top sur le 2-0, elle marque un but et a souvent évité à son équipe de couler. On dit d’elle qu’elle est la star mondiale de la défense. C’est vrai même si les publicitaires l’obligent à s’attacher les cheveux.

Amel Majri :  Elle se fait défoncer par l’ensemble de la presse qui ne dit pas tout le temps des conneries, mais cette fois, si.  Majri a été l’une des seules à la hauteur d’un quart de finale. Vive et impressionnante en première mi-temps, transformant parfois ses adversaires en collégiennes pendant la récréation. Un peu cramée en deuxième mais là, il faudrait plutôt s’en prendre au staff. Le même staff qui l’utilise surtout offensivement, et c’est bien logique, sans prévoir de couverture derrière, alors que visiblement elle ne défend pas. Du coup ça fait 2-0. Et en plus, on lui reproche de ne pas avoir assez produit en attaque ou d’avoir été brouillonne.  Mais s’il n’y avait eu que des Amel Majri hier, les USA en auraient pris cinq ou six.

Kadidiatou Diani : Le pendant parfait de Majri. C’est clairement la meilleure joueuse de la rencontre, elle doit ne pas être loin de l’être du monde. Sortir un tel match en quart de finale de Coupe du monde ne ment pas. Certains lui reprochent de ne pas avoir marqué. Et elles servaient à quoi les autres alors ?

…elles auraient pu les accompagner mais il aurait quand même fallu sortir un meilleur match…

Gaëtane Thiney : Elle n’a pas fait le plus grand match depuis son passage en pro, loin de là et n’a pas fait non plus le match que l’on attend d’une joueuse de ce niveau. Elle a fini par faire une passe décisive et termine bien sa rencontre. Presque suffisant.

Amandine Henry : Ah la Capitaine. Elle se remue, elle couvre les absences continuelles de ses coéquipières mais on pourrait attendre mieux de ses frappes, puisqu’elle les tente. On peut bien penser qu’elle est censée savoir cadrer et mettre un peu de force. Non ?  Sinon on peut comprendre pourquoi les Françaises ont été éliminées. Et c’est mérité.

mais hélas il y avait les autres… Et là aucune chance de passer.

Griedge Mbock : Se trouer ou se faire dominer au bout de quatre minutes par une fille à la coiffure et à la couleur de cheveux incertaines n’est pas gage d’un gros niveau.  Rapinoe a dû être contente de tomber si tôt sur une joueuse aussi faible. On peut soupçonner qu’elle ait été au courant avant.
Marion Torrent : Le plus grand plaisir de Rapinoe fut quand même de croiser Marion Torrent toute la partie. Diacre aurait dû la dégager au bout d’un quart d’heure. Alignée une joueuse aussi larguée en quart de finale, c’est quand même un peu honteux. L’élimination n’est donc pas un scandale.
Elise Bussaglia :  Non évaluée.  A-t-on le droit de  juger sa carrière sur ce match ?
Eugénie Le Sommer :  On veut bien croire qu’elle est une star vu que tout le monde connaît son nom. Mais on peut aussi facilement croire qu’elle n’a pas le mental donc le niveau pour aller plus loin dans la compétition. Et que dire de sa technique. C’était à elle de marquer, elle a surtout tout raté, dont une frappe à coté alors que la cage était vide, et n’a pesé en rien. Prestation horrible.
Valérie Gauvin : On a découvert qu’elle jouait à la fin du match. C’est une bonne nouvelle.

3 réponses sur “France-USA : Torrent de boue”

  1. Le Sommer c’est tout le tournoi qu’elle a raté. Majri je comprends pas pourquoi elle joue pas milieu gauche. D’une manière générale c’était beaucoup trop insuffisant techniquement pour aller plus loin. On est à notre place même un peu mieux je pense car les matchs précédents étaient assez catastrophiques

  2. Encore un petit batard de journaleux qui à peine sorti des c***** de son père, se permet de vomir sur des filles……surement un frustré du gland qui en a marre de se b***** tout seule devant sa glace……alors moi les pourris comme toi, je les e***** bien fort.
    Sac à m***** !

  3. Evidemment les mots étaient complets dans le commentaire original. Nous tenons une copie de celui-ci à disposition de tout ceux qui détestent la censure.

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